Die Ugur-Giftspritze wieder mal
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Hailey Bieber mit Schlaganfall-Symptomen: "Gruseligster Moment"
Von Oliver Wunder
Las Vegas (USA) - Schock für Justin Bieber (28) und seine Ehefrau! Hailey Bieber (25) musste mit rätselhaften Symptomen ins Krankenhaus.
Am Samstag meldete sich die 25-Jährige selbst und erklärte in ihrer Instagram-Story die Hintergründe. "Donnerstagmorgen saß ich mit meinem Ehemann beim Frühstück, als ich Symptome wie bei einem Schlaganfall bekam, und wurde ins Krankenhaus gebracht." Details zu den bei ihr vorliegenden Anzeichen machte sie allerdings nicht.
Nach Angaben der Stiftung Deutsche Schlaganfall-Hilfe sind die häufigsten Symptome eines Schlaganfalls Seh-, Sprach- und Sprachverständnisstörungen, Lähmungen und Taubheitsgefühle, Schwindel mit Gangunsicherheit sowie sehr starke Kopfschmerzen.
Die Ärzte konnte schnell die Ursache für Haileys Beschwerden herausfinden und ihre Vermutung entkräften. Sie entdeckten im Gehirn des Models ein winziges Blutgerinnsel, das einen leichten Sauerstoffmangel ausgelöst haben soll.
"Aber mein Körper hat es von alleine besiegt und ich habe mich nach wenigen Stunden komplett erholt", schrieb die 25-Jährige.
Gerinnsel wie bei Hailey Bieber sehr selten
Hailey bezeichnete die Situation als einen der "gruseligsten Momente", den sie je erlebt habe. "Jetzt bin ich wieder zu Hause und es geht mir gut." Sie sei den hervorragenden Ärzten und Krankenpflegern, die sich um sie gekümmert haben, sehr dankbar. Ehemann Justin äußerte sich nicht zu dem besorgniserregenden Vorfall.
Was der Auslöser für das Blutgerinnsel war, ist unklar. Bei jungen Menschen sind solche Thrombosen normalerweise sehr selten.
Zuletzt traten sie verstärkt im Zusammenhang mit Impfungen gegen das Coronavirus auf. Das Vakzin von AstraZeneca geriet deswegen komplett in Verruf, wurde gemieden und die Ständige Impfkommission änderte ihre Empfehlung dahingehend, dass es nur noch an Menschen über 60 Jahren gespritzt werden sollte.
Auch beim Impfstoff von Johnson & Johnson können in sehr seltenen Fällen Thrombosen auftreten. Sie sind aber auch eine Nebenwirkung der Pille.
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Zitat
Fondation Hippocrate
Primum non nocere
Chers lecteurs,
Il faut voir le film “Effets secondaires, la face cachée des vaccins", réalisé par Raphaël Berland, journaliste et produit avec l’aide du magazine Nexus, ainsi que le soutien de la Fondation Hippocrate.
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L’immense mérite de ce documentaire est de donner la voix aux personnes ayant subi des effets secondaires liés aux vaccins anticovid-19. Ces patients sont invisibles. On ne les entend pas, on ne les compte pas ou peu. Les médias les ignorent. Ils sont tabous. (1)
Raphaël Berland a réuni à la fois des témoignages de victimes de ces vaccins mais aussi d’experts qui tentent d’analyser et de comprendre pourquoi cette vérité est cachée. À l’occasion de son enquête, le réalisateur a reçu plus d’une centaine de témoignages. Il nous livre les plus marquants.
La situation de certaines victimes des vaccins anti-covid est dramatique. En effet, le climat de peur que font régner les médias officiels et le gouvernements favorisent des attitudes méfiantes et une absence de reconnaissance de la part de certains médecins. Les patients sont alors doublement victimes : des effets secondaires du vaccin et d’une errance médicale.
Ces personnes pourraient être vos enfants, vos cousins, des amis ou des voisins. Elles n’avaient, au départ rien contre les vaccins à ARNm au contraire. Je vous propose une synthèse de ces témoignages.
Les premiers concernent des personnes touchées physiquement. La deuxième série est plus triste. Ce sont des personnes ayant perdu un être cher : un époux, un fils, une fille. Ils ont tenu à témoigner pour que la tragédie qu’ils ont vécue ne touche pas d’autres familles. On ne peut que saluer leur courage et leur dignité.
Céline, 46 ans, institutrice, mère de Quentin
Céline explique qu’elle a fait “confiance aveuglément” aux autorités de santé et au gouvernement. Son fils, dont elle ne donne pas l'âge, reçoit le vaccin Pfizer le 4 juillet 2021.
Trois jours plus tard, Quentin commence à aller mal. Le quatrième jour, il a très mal au thorax. Aucun cachet ne peut soulager sa douleur. Céline emmène Quentin aux urgences. Son fils a une myocardite, c’est-à-dire une inflammation du muscle cardiaque. Son taux de troponines dans le sang est de 29000. En général, les médecins s’inquiètent sérieusement à partir de 5000. Son seuil est six fois plus élevé que le seuil grave ! Il aurait pu en mourir.
Quentin garde tout de même des séquelles de ce grave effet secondaire du vaccin. Cet enfant n’avait pas d’antécédents médicaux. Il était sportif, jouait au foot et à plein d’autres sports. Aujourd’hui, il ne peut plus faire de sport, il n’a plus le droit de courir. Il est sous surveillance. Son fils ne recevra pas sa deuxième dose.
Bénédicte, 42 ans, travaille dans la gestion des déchets
Aujourd’hui Bénédicte estime avoir une bombe à retardement dans le corps. Avant son vaccin, sa condition physique n’était “pas mauvaise”. Elle montait régulièrement à cheval.
Le 15 juillet 2021, elle a reçu la première dose de son vaccin Astrazeneca. Elle a décidé de se faire vacciner pour pouvoir profiter de l’été et du temps avec ses enfants. Après la piqûre, elle ressent des douleurs au bras qui sont “tolérables”.
Treize jours plus tard, Bénédicte ne ressent plus rien. Son bras est devenu “mort”. Le visage suit. Paniquée, elle s’allonge. Sa famille appelle le SAMU. Elle est emmenée à l’hôpital de Valence. Les soignants qu’elle rencontre tiquent lorsqu’ils apprennent qu’elle a reçu son vaccin récemment. L’un d’entre eux, inquiet, affirme qu’il s’agit de la troisième personne dans le même cas en peu de temps.
Le diagnostic tombe : Bénédicte a fait un AVC ischémique. Heureusement, le traitement qu’elle reçoit à l’hôpital fonctionne bien. Elle rentre chez elle munie d’un certificat de contre-indication à la vaccination que le neurochirurgien lui a donné. Elle ne fera pas sa dose de rappel.
Carole, sans emploi
Elle est québécoise. Depuis le vaccin elle souffre d’une paralysie de Bell sévère. Il s’agit d’une faiblesse ou d’une paralysie du nerf facial ou septième nerf crânien qui contrôle les muscles du visage, et stimule la glande salivaire et les glandes lacrymales. Ce nerf permet aussi à la langue de détecter les goûts. Il joue aussi sur l’ouïe. (2)
Avant, Carole n’avait aucun problème de santé particulier. Elle s’est faite vaccinée le 22 avril 2021 avec le vaccin Astrazeneca. Le 12 mai, alors qu’elle est assise devant la télévision, elle ressent une sensation derrière l’oreille. Puis, elle s’aperçoit qu’elle ne peut plus parler correctement. Le lendemain matin au réveil, elle constate que la moitié de son visage est complètement paralysé.
Elle se rend à l’hôpital. La consultation dure cinq minutes. Carole rentre. Le médecin, une femme, lui demande ce qu’elle a. Carole explique la situation et précise qu’elle a reçu son vaccin vingt jours plus tôt. Le médecin balaye ses doutes du revers de la main : “Oh non, ce n’est pas ça !”
Carole demande si elle peut avoir un document médical pour son travail. Le médecin refuse. Carole s’entend dire qu’elle risque de rester malade toute sa vie. Puis, lorsqu’elle rencontre son ORL, cette dernière lui dit : “vous êtes mieux, même amochée comme vous êtes, qu’avec le covid.”
Khaled El-Sayed, 56 ans, gérant de société
Il peine à s’exprimer. C’est son épouse, pour l’essentiel, qui prend la parole. Il gérait deux entreprises. Aujourd’hui, il est incapable de travailler. “Mon mari était sportif”, explique l’épouse. Le 3 mai 2021, il s’est fait vacciner avec le Pfizer. Il souhaitait “faire comme tout le monde”. L’épouse dit : “On était obligé de faire le vaccin pour vivre”.
Hélas, sept jours après son vaccin, Khaled ne peut plus parler. Il ne contrôle plus sa main droite. Il ne se souvient plus du nom de son épouse. Son regard est hagard. Les médecins expliquent à l’épouse qu’elle sera bientôt veuve. Il n’y a rien à faire.
Khaled a survécu. Il est allé dans un centre de rééducation. Il est revenu chez lui mais il ne peut plus travailler. Que s’est-il passé ? Il a eu un AVC. Le diagnostic est confirmé par trois rapports médicaux. À chaque fois, il est indiqué que l’AVC est survenu peu de temps après la vaccination. Aucun médecin, cependant, n’aura l’honnêteté de confirmer qu’il y a certainement un lien entre les deux événements.
Vincent, informaticien
Il était sportif. C’était un pompier volontaire. Il a reçu deux doses du vaccin Pfizer. La deuxième a eu lieu le 7 juillet 2021. Il voulait être disponible pour sa mère dont il s’occupait.
Les effets secondaires sont apparus dans la journée de la deuxième dose et ils étaient nombreux : maux de tête alors que Vincent ne souffrait jamais de maux de tête -, grande fatigue, les yeux qui pleurent devant son écran, gène permanente à la gorge, troubles digestifs. Son bras droit a durci.
Lorsqu’il décrit ses symptômes au médecin, ce dernier le prend sur le ton de la rigolade. Le médecin raconte à Vincent les “délires” de ses patients, ceux qui souffrent de la 5G et d’autres “délires” complotistes.
Vincent explique qu’il n’avait pas vraiment envie de rire ce jour-là. Il dit cela en souriant. Son témoignage est poignant. Il sourit mais c’est un visage fatigué qui regarde la caméra. La deuxième dose aura été un traumatisme. Vincent n’a pas du tout envie de faire une troisième dose. Cela aussi, il parvient à le dire avec le sourire.
Brigitte, retraitée
Brigitte a perdu son époux. Au moment des faits, ce dernier a 81 ans. Quelques mois plus tôt, il a fait un “check up” complet. Tout va bien. Il est impatient de se faire vacciner. Brigitte et son époux sont allés se faire vacciner dès le jour de l’ouverture aux personnes âgées. C’était un vaccin Pfizer.
Il a développé un syndrôme de guillain-barré. (3) Ses cordes vocales se sont figées, puis les organes vitaux se sont paralysés. Les reins, la vessie, l’intestin… tout s’est bloqué. Il a été à l’hôpital pendant trois semaines et demi. Puis, le médecin de garde est venu voir Brigitte. Elle lui a dit que son mari allait rentrer avec elle. Aucune autre explication ne lui a été donnée.
Lorsque Brigitte a vu son mari, elle a compris pourquoi on le lui rendait. Les médecins ne savaient plus quoi faire. Il est décédé trois jours plus tard. Brigitte en veut au système médical parce qu’on ne lui a pas dit la vérité. Elle a demandé à l’hôpital un rapport complet sur les traitements reçus par son mari. Ni elle, ni ses médecins n’ont rien reçu. Elle n’ira pas se faire administrer une nouvelle dose.
Guy, 62 ans, retraité de la police nationale, père de Mélanie
Mélanie allait fêter ses 16 ans. Elle était suivie médicalement pour une suspicion de syndrome de marfan. (4)
Cette maladie infantile et héréditaire rare provoque des anomalies au niveau des yeux, des os, du cœur, des vaisseaux, des poumons et du système nerveux. C’est un problème au niveau du tissu conjonctif, qui est la “charpente” de soutien des organes. (5) Mais on n’en meurt pas !
Mélanie a voulu se faire vacciner. Elle ne voulait pas être exclue de la vie : des magasins, du cinéma, etc. Le 11 juillet 2021, elle a reçu sa première dose de vaccin Pfizer.
Deux jours plus tard, Guy retrouve sa fille dans le garage allongée sur le dos. Il la croit morte. Il commence un massage cardiaque et le bouche à bouche. Un couple, passant par là et voyant la scène, vient l’assister. Guy continue le bouche à bouche tandis que l’homme poursuit le massage cardiaque. Quand les pompiers arrivent, Guy pense que sa fille est sauvée. Il a eu de l’espoir car elle n’avait plus “son visage de mort”.
Elle est soignée à Montpellier dans une unité de soins intensifs. Les médecins expliquent à Guy que la situation est catastrophique. Mélanie a des oedèmes dans le cerveau. Les jours passent. La famille de Mélanie est confrontée à un choix : la maintenir en vie dans un état de légume ou la laisser partir tranquillement.
Ils ont laissé Mélanie partir. Elle a eu un emballement du cœur. La seule raison qui explique cet emballement soudain est le fait qu’elle ait été vaccinée deux jours avant.
Keith
Son épouse et son fils témoignent. Il est décédé à 64 ans alors que son état de santé était bon.
Il avait besoin du vaccin pour pouvoir voyager. Il reçoit sa première dose d’Astrazeneca le 18 mai 2021. Son épouse a précisé au soignant que son mari était “anaphylactique”. La réponse a été “Ce n’est pas un problème”.
Keith est revenu chez lui. À un moment donné, il a eu du mal à respirer. Son fils et son épouse ont fait un massage cardiaque. Mais Keith est mort sous leurs yeux.
Le médecin a demandé au fils de Keith s’il avait la covid 19. Le fils a répondu que ce n’était pas le cas mais qu’avant son vaccin, son père n’avait pas été testé. Le médecin a dit que Keith aurait dû faire un test et qu’il était certainement décédé de la covid 19.
Pour le fils de Keith, son père a été victime d’un « meurtre » perpétré par le corps médical.
Frédéric, papa de Maxime, restaurateur
Maxime, 22 ans, est allergique aux cacahuètes. L’arrivée du pass sanitaire le prive de sorties avec ses amis, de vie sociale. Il décide malgré son allergie de se faire vacciner. Son père espère secrètement, qu’à l’examen de son dossier médical, le médecin le dispensera de vaccin. Ce n’est pas ce qui se passe.
Il est vacciné le 26 juillet 2021 à 14 heures avec le vaccin Pfizer. Le soignant explique qu’il n’y a pas de cacahuète dans les vaccins. Le soir vers 22 heures, Maxime devient tout rouge et ne parvient plus à respirer. Il manque d’oxygène. Les secours arrivent. Il est soigné à l’hôpital pour un oedème de Quincke.
Il s’agit d’une réaction du système inflammatoire qui produit un gonflement de la tête et du cou.
Chez Maxime, les symptômes ne sont pas extérieurs. Son visage n’est pas gonflé. En revanche, les traitements qu’on lui prodigue donnent le résultat inverse. Le jeune homme décède à l’hôpital.
Pour les soignants, c’est une allergie à un aliment qu’il aurait mangé au restaurant avant de se faire vacciner.
Frédéric pense que le décès est lié au vaccin. En effet, il explique que Maxime avait une allergie olfactive à la cacahuète. Sa réaction allergique aurait été déclenchée dès la consommation, voir la mise en présence des aliments du restaurant. Ce n’est pas ce qui s’est passé.
Les victimes sont-elles des exceptions ?
Peut-être pensez-vous qu’il s’agit de cas isolés. Ces adolescents, ces parents, ces familles auraient simplement manqué de chance. Il est vrai que souvent les effets secondaires surviennent chez des personnes ayant déjà des faiblesses : une allergie, une suspicion d’allergie, etc.
Toutefois, cela n’est pas vrai à chaque fois. Par ailleurs, de nombreux professionnels ont remarqué sur le terrain une augmentation importante du nombre d’effets secondaires liés aux vaccins anti covid 19. Le nombre de cas n’a rien à voir avec ce qui se passe avec les vaccins classiques.
Christine Cotton, biostatisticienne, a travaillé 23 ans comme prestataire de l’industrie pharmaceutique en tant qu’organisatrice d’essais cliniques. Elle a produit un rapport critiquant les essais cliniques de Pfizer ayant menés à l’autorisation du vaccin de ce laboratoire en France. (6)
Selon elle, il y a énormément d’effets indésirables de type cardio-vasculaires : thromboses, embolies pulmonaires, AVC, infarctus du myocarde, hémorragies, etc. Il y a également des fausses couches, des péricardites et des myocardites.
Elle estime que ces événements interviennent dans un délai post vaccinal très rapide.
Quels sont les chiffres officiels ?
La Directrice de l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des produits de Santé (ANSM), Madame Christelle Ratignier-Carbonneil, a expliqué lors d’une audition au Sénat qu’il y avait eu 110 000 effets secondaires liés aux vaccins au 1er décembre 2021. (7)
Dans le détail, cela donnerait :
Pfizer : 68000 cas d’effets indésirables sur 80 millions d’injections ;
Moderna : 15000 cas d’effets indésirables sur 11 millions d’injections ;
Astrazeneca : 27000 cas d’effets indésirables sur 8 millions d’injections ;
Johnson & Johnson : 1000 cas d’effets indésirables pour 1 million d’infections.
76% de ces effets secondaires seraient considérés comme non graves. Donc, 24% seraient sérieux ou graves. Cela fait tout de même 26 400 victimes potentielles dont beaucoup ont moins de 50 ans. Or, ces personnes ne risquaient pratiquement rien s’ils avaient attrapé la Covid 19.
Par ailleurs, en temps normal, il y a 45000 déclarations d’effets secondaires, tous médicaments confondus, d’après Christelle Ratignier-Carbonneil. Avec les vaccins anti covid 19, il y a donc plus de deux fois plus d’appels. Mais la Directrice de l’ANSM estime que cela est dû au fait qu’habituellement, seuls les médecins font des déclarations. Désormais, 40 à 60% des déclarations seraient faites par les patients. (8)
Le centre de pharmacovigilance de Tours sous tension
Les chiffres de l’ANSM sont confirmés au niveau des centres de pharmacovigilance. À Tours, où est installé le centre pour la Région Val de Loire, 6854 déclarations auraient été formulées pour toute la région. La responsable de ce centre de pharmacovigilance, le Dr Annie-Pierre Jonville-Béra a affirmé dans la presse locale que cela revenait à “six années de travail en une”. En effet, habituellement, le centre n’enregistre pas plus de 1300 déclarations d’effets secondaires par an. (9)
En 2022, cette surcharge de travail se poursuit. Plus de 600 déclarations ont été enregistrées pour le seul mois de janvier. Le centre doit faire face à un manque de personnel pour gérer cette situation bien que les trois praticiens spécialisés en pharmacologie de l’équipe aient désormais été rejoints par deux assistants. La conclusion du Dr Jonville-Béra est: "On manque de personnel et on peine à recruter, confie la cheffe du service. On fait des journées de douze heures. Certains n’ont pas tenu et sont partis."
Si la plupart des appels concernent des effets secondaires relativement mineurs comme des rougeurs, maux de tête ou douleurs diverses que l’on retrouve avec de nombreux vaccins, il arrive aussi que des cas de péricardites ou de myocardites soient remontés.
Le constat est le même dans de nombreux autres centres de pharmacovigilance. À Toulouse, l’activité par exemple a été multipliée par quatre sur l’année 2021. (10)
Comme avec les patients, les professionnels en charge du décompte ont toujours une bonne explication pour dédramatiser la situation. Il n’y a partout qu’un seul discours : les effets secondaires liés au vaccin n’ont rien d’anormal et ils sont toujours beaucoup moins graves que ce que les patients auraient eu s’ils avaient contracté la Covid 19.
D’autres signaux d’alarmes
L’augmentation globale des myocardites et des péricardites depuis le lancement des campagnes de vaccination est un signe inquiétant. Les médias et les autorités ont tendance à minimiser ce chiffre puisque le SARS-CoV-2 peut, lui aussi, provoquer des myocardites.
C’est chez les sportifs que cette montée a le plus fait parler. Alors qu’en 2020 il y aurait eu 3 décès sur les terrains de foot et plus de 15 en 2021. Les volumes restent faibles mais on parle d’une multiplication par 5 des cas soit une augmentation de 500% ! Si bien qu’il est facile de les minimiser. Ils sèment toutefois une certaine inquiétude chez nombre de jeunes sportifs. Pour nombre d’entre eux, c'est du jamais vu. (12)
D’autres chiffres inquiètent comme celui des problèmes de menstruation chez les femmes. Nombreuses sont celles qui, ménopausées, ont vu réapparaître leurs règles après le vaccin. Ce n’était pas une bonne surprise. (13)
Silence ou minimisation de la part des médias et de nombreux médecins
À chaque fois qu’un problème est soulevé concernant les vaccins il est balayé par le corps médical et minimisé par les médias. Pourquoi ?
Il y a, au niveau des médias et des grands moteurs de recherche, une volonté affichée de contrôler l’information que reçoivent les utilisateurs. Ainsi, Google et l’AFP ont conclu un accord historique dont le montant est resté confidentiel sur la “lutte contre la désinformation.” (14)
Cet accord signifie que le géant américain va rémunérer l'AFP pour les recettes qu'il engrange avec l'utilisation de ses contenus.
Google, particulièrement désireux de voir l’information sur les vaccins bien vérifiée a par ailleurs passé un accord avec différents médias et organismes de “fact checking” pour s’assurer que les informations aillent toutes dans le sens voulu par Google. (15)
Le problème est que dans cette affaire Google est à la fois juge et partie. En effet, depuis une décennie, Google s’est rapproché de l’industrie pharmaceutique. Ainsi plusieurs fusions d’activités entre les filiales de Google et des filiales pharmaceutiques ont eu lieu. Google s’est par exemple allié avec Sanofi pour travailler sur le diabète (16) avec Pfizer pour faire des études sur le séquençage de l’ADN (17) et avec GSK sur la médecine bioélectronique. (18)
Désormais, Google a un intérêt direct à servir les objectifs de ces firmes. Cela ne va pas dans le sens d’une information libre, éclairée et pluraliste.
La plupart des grands médias du monde appartiennent à quelques milliardaires qui, de près ou de loin, sont actionnaires de l’industrie pharmaceutique. Pourquoi s’en priveraient-ils ?
C’est là que les bénéfices sont les plus sûrs et les meilleurs, surtout lorsque les gouvernements s’y mettent à leur tour.
Un problème de responsabilité
C’est aussi pour cela que le film de Raphaël Berland est précieux et courageux. Il montre le double jeu des chefs d’Etats et de gouvernement. Ces derniers ont mis une pression considérable sur les populations pour qu’elles se fassent vacciner. (1)
D’improbables récompenses ont été promises aux citoyens qui acceptaient la vaccination. À Hong Kong, on pouvait gagner un appartement, à New York on vous offrait un Hot Dog, en Virginie c’était une arme à feu… Ailleurs, les non vaccinés risquaient des amendes ou l’exclusion sociale à travers des systèmes de pass sanitaire ou vaccinaux. On exigeait une responsabilité totale de la part des citoyens. Dans la bouche de nos dirigeants, cela voulait dire “vaccinez-vous !”. (1)
Juste avant cela, les laboratoires pharmaceutiques avaient pu signer des contrats de nonresponsabilité avec les dirigeants de l’Union européenne. Ces contrats de la honte n’ont pas été soumis à la lecture des députés européens. Et lorsque les plus téméraires de ces derniers ont demandé à les lire, on leur à remis des copies raturées. Les clauses importantes des contrats avaient été soigneusement masquées (caviardées). (19)
Les Députés européens, représentants des peuples européens n’avaient accès ni au prix des vaccins, ni aux sommes versées aux laboratoires pharmaceutiques, ni même aux fameuses clauses exonérant les laboratoires pharmaceutiques des coûts liés aux procès qui leurs seraient intentés en cas d’effets secondaires.
Les dirigeants politiques européens ont permis aux entreprises pharmaceutiques d'engranger les plus grands profits de l’histoire du capitalisme sans avoir à se soucier une seconde de leur responsabilité vis-à-vis des consommateurs. (20)
Et pendant que les uns comptaient leurs bénéfices, les autres pleuraient leurs morts ou comptaient leurs blessures liées aux vaccins.
On peut espérer qu’un jour ces responsables politiques, ces médias, et ces dirigeants de firmes pharmaceutiques rendront des comptes.
En attendant, mes pensées vont aux victimes des vaccins. On ne leur a vraiment rien laissé.
Merci Raphaël Berland de leur avoir donné la parole !
Voici le lien pour voir le documentaire : https://odysee.com/@MagazineNexus:b/Effe...heeDesVaccins:d
Jérôme
PS : La Fondation Hippocrate sélectionne et soutient les projets qui font avancer la cause de la médecine intégrative, dont l'une des valeurs principales est "D'abord ne pas nuire", issue du fameux serment d'Hippocrate.
Si vous souhaitez nous aider dans cette mission, vous pouvez faire un don sur notre site : https://www.fondation-hippocrate.org/soutenir/
Un grand merci d'avance.
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Und noch ein lesenswerter Faden aus dem GELBEN
Hier ein Eintrag daraus von Durran
https://www.dasgelbeforum.net/index.php?...=602315#p602315
Tragischer Tod eines Freundes.
Durran
17.03.2022
Mein bester Freund, 52 Jahre alt ist plötzlich und unerwartet am Dienstag morgen verstorben.
Sonntagabend völlig überraschend Herzinfarkt. Reanimation durch die Frau. Dann kam der Notarzt und er musste noch einmal wiederbelebt werden. Nun mit einem Defibrilator. Krankenhaus und künstliches Koma.
Am Dienstag früh dann noch einen Schlaganfall erlitten. Tod!
Der Mann war ohne Vorerkrankungen, jährlich beim Doktor zum Gesundheitscheck. Bislang immer ohne Auffälligkeiten. Sportlich, gesund ernährt.
Aber 3 x geimpft. Mitte Januar noch geboostert. Nach internen Informationen aus dem Krankenhaus waren alle Gefäße verstopft. Ich hatte noch Sonntag mit ihm telefoniert. Da ging es ihm noch gut.
Es gab ja immer wieder Berichte wonach das Blut verklumpft. Sich die Spikes Proteine an den Gefäßwänden absetzen usw. Dr. Bhakdi hat genau davor gewarnt.
Ich bin ja selbst ungeimpft und hatte ihm, natürlich auch mal lapidar meine Bedenken dahin gehend miktgeteilt.
Es spielt nun auch keine Rolle mehr, Tot ist tot.
Wir sind natürlich alle sehr schockiert.
Es gibt mittlerweile im Umfeld immer mehr Tote mit plötzlichen Herztode, Infarkten oder Schlaganfällen zu beobachten. Gerade zwischen 50 und 60 Jahren. Aber das wird bestimmt nur am Wetter liegen. Wer stirbt hat halt Pech, oder wie es der Arzt zur Frau meines Freundes sagte, es ist eben Schicksal.
Und bei diesen ganzen Fällen wollen sie doch tatsächlich noch eine Impfpflicht durchboxen.
Wenn man ob des Todes meines Freundes dann im Bekanntenkreis die Impfung anspricht, wird sofort abgewürgt oder das Thema gewechselt. Es will weder jemand hören noch wahr haben. Niemand!
Ich sage es klar und deutlich. Hier werden Menschen tot gespritzt!
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Zitat von peterpan im Beitrag #804
Wenn man ob des Todes meines Freundes dann im Bekanntenkreis die Impfung anspricht, wird sofort abgewürgt oder das Thema gewechselt. Es will weder jemand hören noch wahr haben. Niemand!
Ich sage es klar und deutlich. Hier werden Menschen tot gespritzt!
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https://report24.news/pfizer-daten-zeige.../?feed_id=13428
Pfizer-Daten zeigen: Nanolipide in Eierstöcken angereichert, Zusammenhang mit Erkrankungen vermutet
14. März 2022
Nach einem US-Gerichtsbeschluss muss Pfizer die Unterlagen der Zulassungsstudien veröffentlichen. Zahlreiche Fachleute, aber auch interessierte Bürger suchen seither in zehntausenden Seiten nach interessanten Informationen. Dass sich die durch die Impfungen erzeugten Spike-Proteine in Geschlechtsorganen anreichern, war bereits aus einer japanischen Pfizer-Studie bekannt. Nun nimmt die Diskussion Fahrt auf.
Auf dieser Homepage sind die bislang freigegebenen Unterlagen zu finden. Unser Bericht bezieht sich auf dieses Dokument, Final Report, Test Facility Study No. 185350. Die Tierversuche im Vorfeld der Impfkampagne hätten gezeigt, dass sich Lipide aus den Impfstoffen in den Eierstöcken anreichern. Diese Lipide gelten als hochproblematisch und können im gesamten Körper Entzündungen hervorrufen. (Siehe auch: Aufregung: Zwei Bestandteile von Impfstoffen nicht für Menschen zugelassen?).
In den ersten 15 Minuten nach der so genannten „Pfizer-Impfung“ stellten die Forscher fest, dass die Gesamtlipidkonzentration in den Eierstöcken 0,104 ml betrug. Dieser Wert stieg dann auf 1,34 ml nach einer Stunde, 2,34 ml nach vier Stunden und 12,3 ml nach 48 Stunden. Die Versuche wurden an 42 zur Hälfte weiblichen und männlichen Ratten durchgeführt.
Was nach diesen 48 Stunden passierte, ist nicht bekannt. Offensichtlich hat auch niemand von den offiziellen Zulassungsbehörden weiter nachgefragt. Es handelt sich schlussendlich ja nur um die menschlichen Fortpflanzungsorgane, ist man versucht zynisch anzumerken. Die Zahlenreihen zeigen auch deutlich, in welchen anderen Körperteilen sich die Lipide anreicherten. Beispielsweise waren sehr hohe Werte im Dünndarm, der Milz und der Schilddrüse feststellbar.
In diesem Zusammenhang weisen wir auch auf unsere Recherche vom Juni 2021 hin: Dr. Roger Hodkinson warnt: Spike Proteine machen beide Geschlechter unfruchtbar.
Die Internetseite freiemedien.substack.com hat einen Zusammenhang zu Daten von Public Health Scotland hergestellt. Dabei fand man heraus, dass die Zahlen der entsprechenden Krebserkrankungen deutlich angestiegen sind. Darüber hinaus zitiert die Seite die bekannten Zahlen von einem starken Ansteigen von Menstruationsbeschwerden und vaginalen Blutungen nach der Impfung. Dem gegenüber stehen online verfügbare Zahlen aus den USA, aus denen bislang kein Anstieg von Eierstockkrebs ablesbar ist. Allerdings liegen in den meisten Fällen noch keine aktuellen Zahlen vor, die verlinkte Seite der CDC endet gleich im Jahr 2018 und ist somit zur Analyse unbrauchbar. Ob die Anreicherung von entzündungsfördernden Nanolipiden in Eierstöcken ursächlich für Krebserkrankungen, Unfruchtbarkeit oder andere Probleme sein könnte, müssten genauere Forschungen klären. Normalerweise werden solche Fragen in den langen Jahren vor einer Medikamentenzulassung abgeklärt – doch im Zuge der Covid-Pandemie verwarf man leichtfertig all diese Standards.
Dabei darf man auch nicht außer Acht lassen, dass es auf Basis verschiedener Quellen eine starke Zunahme von Fehl- und Totgeburten geben soll: Dramatische Zunahme von Fehl- und Totgeburten: Covid-Impfung verantwortlich? Extrem gefährlich erweisen sich hier die Fake-News-Werbekampagnen verschiedener öffentlicher Einrichtungen wie beispielsweise der Oberösterreichischen Landesregierung: Die Fake-News der OÖ Landesregierung zur Covid-Impfung für Schwangere. Doch nicht nur auf Schwangere zielten die Impfkampagnen ab, speziell in Österreich gab es mehrere Sujets, welche unterstellten, dass eine gesunde Schwangerschaft nur nach der Impfung möglich wäre. Die Realität zeigt, dass das Gegenteil der Fall sein dürfte.
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https://multipolar-magazin.de/artikel/die-wussten-nichts
„Die wussten nichts, hatten keine Zahl parat“
Der Datenanalyst Tom Lausen hat in dieser Woche als Sachverständiger im Gesundheitsausschuss des Deutschen Bundestages zur Frage der Überlastung des Gesundheitssystems und der Untererfassung von Impfnebenwirkungen ausgesagt. Im Multipolar-Interview berichtet er davon und erklärt außerdem, warum er einen Strafantrag gegen den neuen Chef der Krankenkasse BKK ProVita gestellt hat.
PAUL SCHREYER
17. März 2022
Multipolar: Die rechtliche Grundlage für die Corona-Maßnahmen sind Regelungen im Infektionsschutzgesetz, die zum Ende dieser Woche regulär auslaufen. Deshalb wird jetzt in großer Eile eine Nachfolgeregelung vom Bundestag beraten. Es soll vermieden werden, alle Maßnahmen am Wochenende aufheben zu müssen, wie es in vielen europäischen Ländern schon geschehen ist. Erst am Mittwoch fand dazu die erste Beratung im Parlament statt, sehr kurz, nur eine Stunde. Am Freitagmorgen wird erneut beraten, von 9:00 Uhr bis 10:20 Uhr, und direkt danach abgestimmt. Vorbereitend tagte am Montag der Gesundheitsausschuss, wo Experten zu dieser beabsichtigten Änderung des Infektionsschutzgesetzes angehört wurden. Bei dieser Ausschusssitzung waren Sie, Herr Lausen, als Einzelsachverständiger geladen. Ihre Stellungnahme ist auf der Webseite des Bundestages veröffentlicht. In Ihrem mündlichen Statement dort sagten Sie, dass Sie in der Diskussion Zahlen vermissen. Können Sie das erläutern?
Lausen: Ja, zunächst einmal musste ich mich mit der Frage beschäftigen, warum keiner meiner Vorredner und derjenigen, die nach mir geredet haben, irgendeine Zahl genannt hat oder meines Erachtens auch gewusst hat. Das hat mich sehr betroffen gemacht und mich auch ein wenig erschreckt. Denn es werden da Szenarien diskutiert, die überhaupt nicht zahlenbasiert sind. Das heißt, ich war der Erste und vermutlich auch der Einzige, der zu Zahlen etwas sagen konnte. Insbesondere geht es hier um die Fragestellung der Überlastung des Gesundheitssystems, also der deutschen Krankenhäuser, und ich hatte den Eindruck, dass die meisten noch nie gehört hatten, dass in den letzten zwei Jahren fünf Millionen Patienten, die man eigentlich hätte erwarten dürfen in deutschen Krankenhäusern, gar nicht in die Krankenhäuser gekommen sind. Die Gründe dafür sind jetzt erst einmal zweitrangig. Mag sein, dass die Leute Angst hatten, in die Krankenhäuser zu gehen. Was auch immer der Grund ist, fünf Millionen Patienten sind nicht dort gewesen. Und ich glaube, viele von denen, die dort im Ausschuss gesessen haben, haben das zum ersten Mal gehört.
Dass eine Überlastung bei einer solchen Zahl von fehlenden Patienten unmöglich ist, das ist diesen Leuten offensichtlich noch nicht in den Sinn gekommen bis zu dem Tag. Jetzt kann es sein, dass sie ein wenig darüber nachdenken. Wenn also die Grundlage, die Begründung, die Überlastung des Gesundheitssystems sein soll, dann sind die Zahlen natürlich die Grundlage dafür. Kann eine Überlastung des Gesundheitssystems bei dieser Minderfallzahl an Patienten überhaupt stattfinden? Diese Diskussion ist nicht weiter geführt worden. Ich habe das jetzt als Zahlenbasis erst einmal in den Raum gestellt, vielleicht diskutieren das die Abgeordneten im Gesundheitsausschuss untereinander. Aber die Zahlen sind jetzt da.
Das Zweite ist, ob eine tatsächliche Nachhaltigkeit mit diesen Maßnahmen überhaupt angestrebt wird. Ob man also handelt, wie es die Nachhaltigkeitsstrategie der Bundesregierung fordert, und wie es der Entwurf zum neuen Infektionsschutzgesetz aus dieser Strategie auch wörtlich zitiert, "um ein gesundes Leben für alle Menschen jeden Alters zu gewährleisten und ihr Wohlergehen fördern" und um "unvertretbare Risiken für die menschliche Gesundheit zu vermeiden". Es geht also um das Vermeiden unvertretbarer Risiken für die menschliche Gesundheit. Das möchte man mit diesem Gesetzesentwurf erreichen. Und die Maßnahmen sollen das gewährleisten. Ich kann aber eben sowohl zur Überlastung des Gesundheitssystems, als auch zur Vermeidung der Gesundheitsrisiken sagen, dass ich glaube, dass diese Maßnahmen gar nichts von dem erreichen werden.
Multipolar: Von dieser Sitzung am Montag im Gesundheitsausschuss gibt es einen Videomitschnitt, die Beratung wurde im Internet gestreamt. Nach dem Anschauen habe ich den Eindruck, dass dort alles sehr formalisiert abläuft und nicht im entferntesten eine Debatte stattfindet. Viele Menschen haben vielleicht noch die Erwartung, dass bei der Arbeit in den Ausschüssen offener oder vielfältiger debattiert wird als in einer Plenardebatte im Bundestag, wo man ja schon gewohnt ist, dass dort nur ein Schlagabtausch stattfindet, sodass viele Menschen hoffen, dass in den Ausschüssen dann aber die Sacharbeit gemacht wird. Wenn ich mir jetzt diese Übertragung vom Ausschuss anschaue, dann habe ich den Eindruck, das ist ähnlich formalisiert. Besonders hat mich irritiert, dass außer eines einzelnen Abgeordneten der AfD niemand Sie im Ausschuss befragt hat. Kein anderer Abgeordneter hat eine Frage an Sie gerichtet oder auch nur versucht Ihre Argumentation zu kritisieren. Mein Eindruck war, dass Ihre Aussagen vollkommen ignoriert wurden. Haben Sie einen anderen Eindruck? Hat Sie vielleicht außerhalb der Ausschusssitzung noch ein Abgeordneter darauf angesprochen?
Lausen: Nein, es hat mich niemand angesprochen. Es gab mit einem CDU-Abgeordneten ein Vorgespräch, tatsächlich über diese Zahlen, der diese Zahlen jetzt, nachdem ich sie ihm gesagt habe, auch kennt und diese Sache genauso unterstützt. Aber das war im Vorfeld.
Dieses Format, das wir gesehen haben, ist eine Anhörung. Und bei einer Anhörung geht es nicht um die Diskussion, sondern nur um ein Einholen von Argumentationen von Verbänden, Organisationen oder Einzelsachverständigen. Das heißt also, das, was wir da in der Anhörung gehört und gesehen haben, war eine Sachkundigmachung der Abgeordneten, damit sie in einer weiteren Diskussion eine Grundlage haben. Das ist eigentlich alles. Es war also nicht zu erwarten, dass Leute untereinander diskutieren.
Und ja, natürlich hätte ich auch gerne Nachfragen gehabt zu meinen Zahlen. Ich war sehr verwundert, dass, nachdem ich die Zahlen genannt habe, kein einziger mehr irgendeine Frage zu meinen Zahlen stellte. Allerdings gab es eine feste Reihenfolge, es hätte quasi nur noch die Links-Fraktion, die danach kam, Fragen stellen können, weil die eine Redezeit hatten, die danach angesetzt war. Die Redezeit der anderen wurde für andere Sachverständige genutzt. Nur der AfD-Vertreter hat mich befragt.
Multipolar: Hatte die AfD Sie in den Ausschuss eingeladen?
Lausen: Ob ich von der AfD eingeladen wurde, ist mir unbekannt. Man wird immer vom Leiter des Gesundheitsausschusses eingeladen und bekommt keine Information darüber, wer einen eingeladen hat – um zu vermeiden, dass man als Sachverständiger, wenn einem eine Partei unlieb ist, möglicherweise gar nicht erscheint. Deswegen erfährt man das nicht bei dieser Einladung, sondern es lädt der Vorsitzende ein. So ist es auch bei mir geschehen. Und natürlich kann man jetzt annehmen, dass die AfD mich eingeladen hat, weil die AfD die Frage an mich gestellt hat und niemand anderes sonst.
Multipolar: Das heißt, eine Diskussion ist in so einem Format gar nicht vorgesehen. Die Diskussion findet dann tatsächlich im Bundestag statt. Das heißt, am Freitagmorgen soll dann in den 80 Minuten zwischen 9:00 Uhr und 10:20 Uhr all das diskutiert werden, was in der Ausschusssitzung am Montag vorgebracht worden ist. Wir werden sehen, was dann tatsächlich am Freitag im Bundestag passiert.
Lausen: Genau.
Multipolar: Noch zu einem anderen Themenkomplex: Sie sind in den letzten Wochen vor allem durch Ihre Auswertung der BKK-Daten in den Medien gewesen. Bei dieser Auswertung von Abrechnungsdaten der BKK-Krankenkassen ist herausgekommen, durch die Initiative des Chefs der Krankenkasse BKK ProVita, Andreas Schöfbeck – der inzwischen vom Verwaltungsrat fristlos entlassen worden ist –, dass es offenbar eine erhebliche Untererfassung der Impfnebenwirkungen gibt, um den Faktor 10 und höher. In Reaktion auf die Veröffentlichung ist bislang jedoch nichts passiert. Der Chef der BKK ProVita musste gehen und die Daten sind offenbar noch nicht an das PEI, also an das Paul-Ehrlich-Institut, übertragen worden. Sie, Herr Lausen, haben jetzt verschiedene Schriftsätze aufgesetzt, auch über einen Anwalt, sowohl ans PEI, wo Sie nachgefragt haben, ob die BKK-Daten angekommen sind, beziehungsweise was unternommen wird, um die Daten zu erhalten, als auch an den neuen Vorstand der BKK ProVita, was von seiner Seite aus unternommen wird, um diese Daten ans PEI zu übertragen. Wie ist in dieser Sache der aktuelle Stand?
Lausen: Also, alles, was Sie gesagt haben, ist soweit erstmal korrekt. Ich habe sowohl ans PEI mit Fristsetzung Dienstag 12 Uhr, die nicht eingehalten wurde, angefragt, ob sie diese Daten entgegengenommen haben, und darüber hinaus zusätzlich, ob die Daten der Kassenärztlichen Vereinigungen, die laut Infektionsschutzgesetz verpflichtet sind, bestimmte Daten zur Pharmakovigilanz – also zur Erfassung und Bewertung von unerwünschten Arzneiwirkungen – regelmäßig ans PEI zu schicken, auch gemeldet werden. Ich habe angefragt beim PEI, ob das auch geschieht. Und ich habe keine Antwort bekommen.
Ich vermute, das geschieht gar nicht, also dass da nichts kommt. Die werden jetzt wahrscheinlich erst bemerkt haben, welchen gesetzlichen Auftrag im Hintergrund die Pharmakovigilanz zusätzlich noch hat. Wir sehen ja, dass im Grunde auch bei vielen Organisationen wie dem, ich glaube, es war der GKV-Spitzenverband, der auf Nachfrage im Gesundheitsausschuss gar keine Zahlen zu Arbeitsunfähigkeiten der Versicherten in Deutschland abliefern konnte. Denn die wussten ja gar nichts. Die wussten nichts. Die hatten keine Zahl parat. Ich weiß gar nicht, was die da rechnen. Ob das einfach für die so business as usual ist und Corona läuft nebenbei, ich weiß es nicht. Und das Zweite, was ich am Montag noch gemacht habe, ist, ich habe über meinen Anwalt jetzt einen Strafantrag gestellt an hundert Staatsanwaltschaften in Deutschland gegen den neuen Vorstand der BKK ProVita, weil er seiner Garantenpflicht eben nicht nachkommt und möglicherweise Straftatbestände erfüllt. Und das müssen die Staatsanwaltschaften jetzt überprüfen.
Multipolar: Sie haben an hundert Staatsanwaltschaften einen Strafantrag gestellt?
Lausen: Ja, genau. Die Versicherten sitzen ja überall in Deutschland, das heißt, alle Staatsanwaltschaften sind betroffen von dieser Unterlassung des neuen Vorstandes der BKK ProVita. Denn dadurch werden möglicherweise Körperverletzungen ausgelöst, die in ihrem Ausmaß den Impflingen möglicherweise gar nicht im Voraus bekannt sind, und die deshalb einwilligen zu etwas, zu dem sie nicht einwilligen würden, wenn sie das volle Ausmaß kennen würden. Das sind ja mögliche Straftatbestände, die überall in Deutschland dann stattfinden werden. In diesem Fall betrifft es jede Staatsanwaltschaft.
Multipolar: Bevor Sie den Strafantrag gestellt haben, wiesen sie den neuen Vorstand der BKK ProVita, Walter Redl, bereits in der vergangenen Woche in einem Schreiben auf die Strafbarkeit des Unterlassens einer raschen Übergabe der Abrechnungsdaten zu den Nebenwirkungen ans PEI hin. In diesem Schreiben führen Sie unter anderem auch den Paragraf 5 des Arzneimittelgesetzes an. In diesem Gesetz heißt es unter der Überschrift „Verbot bedenklicher Arzneimittel“:
„Es ist verboten, bedenkliche Arzneimittel in den Verkehr zu bringen oder bei einem anderen Menschen anzuwenden. Bedenklich sind Arzneimittel, bei denen nach dem jeweiligen Stand der wissenschaftlichen Erkenntnisse der begründete Verdacht besteht, dass sie bei bestimmungsgemäßem Gebrauch schädliche Wirkungen haben, die über ein nach den Erkenntnissen der medizinischen Wissenschaft vertretbares Maß hinausgehen.“
Da denkt man an die neuartigen mRNA-Präparate, wo ein negatives Schaden-Nutzen-Verhältnis in einzelnen Altersgruppen bereits belegt ist. Hat Ihres Wissens schon irgendjemand auf diese Klausel im Arzneimittelgesetz in diesem Zusammenhang hingewiesen?
Lausen: Nein. Es wird Zeit, dass das geschieht. Im Grunde genommen ist das der Ursprung für alle. Der Arzt muss entscheiden, ob er tatsächlich vertreten kann, ein bestimmtes Arzneimittel zu geben. Und das Paul-Ehrlich-Institut muss entscheiden, ob dieses Arzneimittel den wissenschaftlichen Standards so entspricht. Und viele andere drumherum haben bestimmte Pflichten, die immer in Paragraf 5 am Ende wiederzufinden sind.
Multipolar: Das heißt dann auch, dass alle, die jetzt mit der Impfung aktiv befasst sind, angefangen bei den Ärzten, in den Bereich der Strafbarkeit kommen, wenn sie diesem Verdacht nicht nachgehen?
Lausen: Zumindest ist es so, dass, wenn am Ende der ganzen Sache, nachdem bekannt geworden ist, wie viele Nebenwirkungen da noch schlummern, die noch nicht untersucht worden sind in ihrer Schwere, wenn diese Nebenwirkungen in ganz Deutschland aufgetreten sind, und das Paul-Ehrlich-Institut kommt – wenn es das wirklich untersucht – zu dem Schluss und sagt, „das ist aber ein gefährliches Arzneimittel“, dann muss man sich ja überlegen, ob der Arzt nicht schon jetzt entscheiden muss und sagen muss: Bis das nicht geklärt ist, kann ich leider nicht impfen mit diesen Impfstoffen. Jeder Arzt kann überlegen, ob er trotzdem weiterimpft, obwohl er dieses Wissen darüber hat.
Zum Interviewpartner: Tom Lausen, Jahrgang 1967, wurde in Hamburg geboren und arbeitet seit 1987 als Programmierer und Datenanalyst. Er betreibt die Webseite intensivstationen.net, auf der die Zahl der deutschen Intensivbetten und ihre Belegung regelmäßig aktualisiert dargestellt werden. Ende 2021 veröffentlichte er zusammen mit dem langjährigen WDR-Journalisten Walter van Rossum das Buch „Die Intensiv-Mafia. Von den Hirten der Pandemie und ihren Profiten“. Im Rahmen der Corona-Krise war er mehrfach als Sachverständiger im Deutschen Bundestag geladen.
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Kommentare
GÜNTHER OBERBECK, 17. März 2022,
Liebes geschätztes Team von Multipolar, verehrte Leser! Anlässlich dieses Interviews mit Tom Lausen will ich noch einmal versuchen, meine Fragen zu dieser Thematik loszuwerden. Es will mir einfach nicht in den Kopf, dass es so laufen kann, wie es läuft.
Warum ist es scheinbar nicht möglich, das PEI dazu zu bringen, die Risiken (Verdachtsfälle…) der millionenfach verabreichten neuartigen mRNA-„Impfungen“ einigermaßen komplett zu erfassen, zu bewerten und die erforderlichen Maßnahmen daraus abzuleiten? Es gibt ja schließlich Gesetze (Arzneimittelgesetz…) und die sind normalerweise einzuhalten. Wenn Herr Lausen feststellt, dass etwa das Zehnfache an Behandlungen wegen vermutlichen Impfschäden (im Verglich zu den PEI-Statistiken) bei der BKK abgerechnet werden, dürfte doch wohl etwas nicht stimmen. Das PEI macht aber keine Anstalten, diese Lücke zu überprüfen (was in der Industriewelt selbstverständlich wäre).
Als Bundesbehörde dürfte sie doch ohne Schwierigkeiten Einblick in die Daten der BKK bekommen. Es gibt wohl genügend Hinweise für die Vermutung, dass das Verfahren der Impfschäden-Erfassung und -Bewertung nicht annähernd funktioniert. Ich formuliere meine Meinung als Nicht-Jurist (aber als ehemals technisch und industriell erfahrener Mensch) mal sehr einfach:
(1) So wie ich das verfolge, funktioniert die gesetzlich vorgeschriebene Risikoerfassung und -Bewertung der „Impfung“ nicht (Dunkelziffer zehnfach usw.) oder ist mindestens unzureichend.
(2) Obwohl diese Risikoermittlung doch wohl unbestritten eine äußerst wichtige Angelegenheit ist, kann dieser Mangel aber scheinbar nicht abgestellt werden. Anders formuliert: Wir müssen es nehmen wie es ist. Ist das vertretbar?
(3) Warum wird dagegen nicht geklagt? Haben wir keine Anwälte, kein Staatsanwälte mehr in D? Oder ist eine solche Klage aussichtslos? Noch nicht einmal eine Prüfung kann erwirkt werden? In diesem Fall wäre es vielleicht an der Zeit, die Gesetze anzupassen. Der Rechtstaat D hat scheinbar momentan keine (rechtlichen) Mittel, ein möglichst korrektes Verfahren zur Ermittlung der Impfrisiken einzuklagen.
Ich frage mich: Wie kann das in einem Staat wie D sein? Und ich wundere mich schon lange, warum dieses Thema nicht auf den Punkt gebracht wird. Vielleicht hat jemand die Antwort, ich finde sie nicht.
Derzeit wird die allgemeine Impfpflicht vermutlich beschlossen, die einrichtungsbezogene ist schon in Kraft. Wie war bzw. ist es möglich, diese Gesetze bzw. Vorschriften zu erlassen, ohne die Impfrisiken halbwegs korrekt zu kennen? Die maßgeblichen Personen (Abgeordnete des Bundestages…) können sie nicht kennen, wenn das System nicht funktioniert. Nur die wenigsten Abgeordneten monieren das. Das Bundesverfassungsgericht hat bei der Klage gegen die einrichtungsbezogene Impfpflicht auf das geringe Risiko der „Impfung“ verwiesen. Die Verlässlichkeit des Erfassungssystems wurde dabei nicht infrage gestellt.
Erlauben sie mir abschließend noch kurz einen kleinen Vergleich mit der Technik: Nehmen wir an, sie holen beim Händler ihr neues Auto ab, ein schickes, neues Modell, neue Serie. Sie sind ein Vielfahrer, brauchen das Auto beruflich fast an jedem Arbeitstag. Der Verkäufer sagt Ihnen kurz bevor sie losfahren wollen, dass es bei diesem Modell Fahrzeuge gibt, bei denen die Bremsen (und manchmal auch die Lenkung) nicht immer zuverlässig funktionieren. Das würde zwar höchstens bei jedem tausendsten neuen Fahrzeug vorkommen, aber man kann es nicht ganz ausschließen. Und der Verkäufer meint: „Das Risiko ist also sehr gering. Dafür bekommen Sie aber ein toll ausgestattetes Auto nach dem letzten Stand der Technik.“ Und: „Bitte unterschreiben Sie noch, dass ich Sie auf dieses Risiko hingewiesen habe“.
Ich weiß, diese Szene ist Theorie (und jedes Beispiel hinkt). Das wäre beim Auto niemals möglich. Bei der „Impfung“ schon.
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ULRICH KARRASCH, 17. März 2022
Liebes Team von Multipolar, Lieber Herr Oberbeck,
zunächst gilt mein Respekt Tom Lausen, der aus den von ihm analysierten Daten ein zutiefst ethisches Verhalten im Sinne des Schutzes von Leben und Gesundheit von Menschen durch Forderung nach Untersuchung der offenkundigen Diskrepanzen zwischen Impfstoff-Versprechen und -Realität zeigt. Dieser Anstand geht den maßgeblichen Entscheidern in Politik, Wissenschaft und Medien völlig ab.
Ihre berechtigten Fragen, Herr Oberbeck, habe ich mir (als medizinischer Laie) in etwa so beantwortet:
(1) Unzureichende Erfassung der Impf-Nebenwirkungen: Das PEI nimmt eine "passive" Haltung zur Erfassung von Impfnebenwirkungen ein: wenn etwas gemeldet wird, dann erfassen sie es. Wegen der ideologischen Irreführung (die Impfstoffe sind sicher, quasi nebenwirkungsfrei) und der finanziellen Fehlanreize in der Impfkampagne (beispielsweise hohe Vergütungssätze pro Injektion und nicht vergüteter Zeitaufwand für die Erstattung von Meldungen bei Impfschäden) kommen großer Teile der Ärzteschaft der Meldepflicht aber nicht nach. Deshalb bräuchte es ein "aktives" Meldesystem, bei dem z. B. eine Stichprobe aus allen Geimpften in regelmäßigen Abständen nach gesundheitlichen Problemen befragt werden müsste. Tom Lausen hat ja nach meinem Verständnis eine solche Stichproben-Analyse vorgenommen.
(2) Warum wird das Risiko, Impfschäden zu erleiden, nicht systematisch erfasst? Der Grund dafür ist Staatsversagen. Das PEI ist sowohl für die Zulassung von Impfstoffen (hier möglicherweise als Zuarbeiter der EMA) als auch für die Erfassung unerwünschter Nebenwirkungen zuständig. Es besteht also kein Interesse an vollständiger Erfassung, weil damit ja belegt werden würde, dass im Prozess der Zulassung die potenziellen Risiken nicht ordnungsgemäß untersucht wurden. Dass diese Untersuchungen im Vorfeld der bedingten Zulassungen tatsächlich nicht ausgeführt worden sind, hat Frau RA Beate Bahner ja erklärt. Dieser strukturelle Mangel ist wohl kein Zufall. Das BMG als aufsichtsführendes Organ könnte diesen Interessenkonflikt durch organisatorische Trennung der Zulassungs- und der Kontrollfunktion beseitigen, macht es aber nicht.
(3) Wenn ich richtig verstanden habe, dann hat Tom Lausen jetzt die Justiz mittels Strafanzeige eingeschaltet, um auf diesem Wege endlich die Befassung des PEI mit den Erfassungsdiskrepanzen zu erzwingen.
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Geschichten aus dem Paulanergarten: Ist das alles wahr? Aber klar, denn sowas kannst du dir nicht ausdenken.
Siggi macht sich mit seinen 70 Jahren kurz vor Weihnachten 2021 frohgemut auf den Weg zur dritten Giftspritze. Seinem Nachbarn sagt er noch, ich hol mir jetzt den dritten Piks, damit wir auch im neuen Jahr gesund bleiben. Ich bin topfit und das will ich auch bleiben - die böse Corona kann mir nix, denn dann bin ich vollständig geimpft.
An Heiligabend wundert sich der Nachbar, dass Siggi sein Haus noch nicht weihnachtlich beleuchtet hat - das macht er doch jedes Jahr. Fassungslos erfährt er von einem anderen Nachbarn, dass Siggi zwei Tage nach der Ugur-Giftspritze plötzlich und unerwartet verstorben sei.
So, und jetzt das beste an der traurigen Geschichte: Siggi hat ein grosses schönes Haus mit grossem Garten und Garagen. Dreigeschossig - das Erdgeschoss hat er selber bewohnt, der Rest war an eine Familie aus Albanien vermietet. Das war sozusagen seine Ersatzfamilie - mit seiner eigenen Verwandtschaft war er wegen Erbstreitigkeiten verstritten.
Die Albaner wollten ein eigenes Haus und hatten vor auszuziehen. Da machte Siggi einen Vorschlag: Ihr (Die Albaner) bleibt im Haus wohnen gegen monatliche Zahlung, wenn ich sterbe bekommt ihr alles, ihr seid Alleinerbe, bis dahin habe ich das Wohnrecht. Siggi wollte noch viele Jahre glücklich dort wohnen, alles war schön hergerichtet und renoviert. Man machte einen Vertrag beim Notar und alles war geregelt. Das war vor einem Jahr.
Jetzt ist Siggi leider von uns gegangen und die lieben Albaner bekommen eine Hütte im Wert von einer Million plus Barvermögen von über hundertausend. Vier Wochen später war das Erdgeschoss, also die Wohnung von Siggi schon ausgeräumt.
Das Leben geht weiter und es kann so schön sein. Da kommen manche aus dem Lachen gar nicht mehr raus.
Zum Schluss das Letzte: Was sagen die Mediziner dazu? Zum Glück geimpft - es hätte schlimmer kommen können. Selbstverständlich hat das alles rein gar nix mit der Ugur-Giftspritze zu tun.
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https://www.legitim.ch/post/eklat-im-bun...ften-explodiert
Eklat im Bundestag: BKK-Daten zeigen, dass die Arbeitsunfähigkeit bei den Geimpften explodiert!
Im Rahmen des Gesundheitsausschusses vom 14. März 2022 lieferte der Einzelsachverständige Tom Lausen (Informatiker) umfangreiche Daten, die einmal mehr zeigen, dass wir in Bezug auf das wirkliche Ausmass der Impfschäden nicht korrekt informiert werden:
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Zitat
Philou
Tennis: Angesichts der Schmerzen gibt sich der mehrfach injizierte Rafael Nadal geschlagen.
In meinem Bekanntenkreis gibt es immer wieder Mehrfachinjizierte, die positiv getestet werden.
Schockiert das niemanden?
Und bei einem Mehrfachinjizierten, der sehr stolz darauf war, geimpft zu sein, ist der Krebs wieder ausgebrochen.
Ich glaube nicht, dass er das Krankenhaus so schnell verlassen wird.
Die injizierenden Ärzte sind für unsere Misere verantwortlich.
Sie sind nicht zuverlässiger als die Kandidaten für die Wahlen.
https://www.egaliteetreconciliation.fr/T...line-67623.html
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https://uncutnews.ch/das-ist-absurd-poli...ten-von-pfizer/
Das ist absurd!
Politischer Kommentator liest aus den vertraulichen Dokumenten von Pfizer
uncut-news.ch
März 21, 2022
Die amerikanische politische Kommentatorin Liz Wheeler las in ihrer Sendung aus vertraulichen Dokumenten über den Corona-Impfstoff von Pfizer vor. Die Dokumente beziehen sich auf Nebenwirkungen, die Pfizer im Februar letzten Jahres bekannt waren.
Dabei handelt es sich um Nebenwirkungen, die aufgetreten sind, nachdem der Impfstoff bereits zugelassen war. „Das sollte die Alarmglocken schrillen lassen“, sagte Wheeler. „Dies ist eines der Dokumente, die Pfizer für die nächsten 70 Jahre vor uns verbergen wollte. Sie wollten, dass die Regierung es 70 Jahre lang geheim hält“.
Das Dokument enthält viele Seiten über Nebenwirkungen. „Sehen Sie, wie viele Nebenwirkungen es gibt“, sagt Wheeler. „Unsere Gesundheitsbehörden haben uns versichert, dass dieser Impfstoff vollkommen sicher ist und dass Nebenwirkungen sehr selten sind“. Pfizer wusste das.
Wheeler nennt einige der Nebenwirkungen des Impfstoffs von Pfizer: Epilepsie, Lupus, Schlaganfall, Gehirnentzündung, akute Nierenschäden, Herzinfarkt, anaphylaktischer Schock, Thrombose oder Blutgerinnsel, Arthritis und asymptomatisches Covid-19. Man kann also Covid-19 durch den Covid-19-Impfstoff bekommen, obwohl uns gesagt wurde, dass dies nicht passieren würde. „Das ist absurd.“
„Dieses Dokument ist schockierend. Das ist schockierend“, betont Wheeler. „Da steht, dass man durch den Impfstoff eine Fehlgeburt erleiden und auf alle möglichen schrecklichen Arten sterben kann.“
„Sie wussten davon. Und wenn Pfizer davon wusste, dann wussten auch die Gesundheitsbehörden und die Regierung davon, aber sie haben es vor der Öffentlichkeit verborgen“, sagt sie.
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https://www.dasgelbeforum.net/index.php?...=602925#p602925
Ein Mechanismus warum man COVID-Reinfektionen vermeiden sollte: Ein Fall von geschrumpften Gehirnen: Wie Covid-19 die Gehirnzellen schädigen kann
Ikonoklast @, Dienstag, 22.03.2022
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Zwei Meldungen aus dem Irrenhaus
FC-Bayern Kimmich geimpft
https://www.bild.de/sport/fussball/natio...36120.bild.html
und ein anderer Promi plötzlich und unerwartet ...
https://www.bild.de/regional/duesseldorf...36690.bild.html
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Zitat von peterpan im Beitrag #816
ein anderer Promi plötzlich und unerwartet ...
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https://www.bild.de/unterhaltung/kino/ki...39644.bild.html
Die Oscar-Entscheidung 2022
Im vorigen Jahr war die Preisverleihung wegen der Corona-Pandemie deutlich kleiner ausgefallen. Schauplatz war damals ein historisches Bahnhofsgebäude in Los Angeles mit nur wenigen Hundert Gästen. In diesem Jahr steigt die Gala wieder im Dolby Theatre – mit über 3000 Plätzen.
Die einzige Einschränkung: strikte Corona-Auflagen. So müssen Nominierte und Gäste einen Impfschutz und negative Tests vorweisen. Eine Ausnahme, die kaum jemand versteht: Diejenigen, die präsentieren oder auftreten, müssen nicht geimpft sein, benötigen aber negative Tests. Doch diese Auflagen werden Gäste der größten Film-Preisverleihung der Welt sicherlich gerne in Kauf nehmen.
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Tim Kellner auf Facebook:
Sammelanzeige gegen Karl Lauterbach!!!
+++ Teilen +++ kopieren +++ unterschreiben und selbst bei einer Staatsanwaltschaft oder Polizeidienststelle stellen +++
Strafanzeige
Sehr geehrte Damen und Herren,
hiermit erstatte ich Strafanzeige wegen des Straftatbestandes der Volksverhetzung (§ 130 StGB) und der verletzenden Beleidigung (§ 192a StGB) gegen Karl Lauterbach, Bundesgesundheitsministerdarsteller,
aka „der Mann, der ausschließlich Lügen, Hetze und Spaltung verbreitet!“
Der Beschuldigte Lauterbach hielt am 17.03.2022 im Bundestag eine Rede, die eher als ein hasserfüllter Hetzbeitrag gegen ungeimpfte Menschen in Deutschland zu bezeichnen wäre.
In seinem unsäglichen Erguss traf der Apokalyptiker Lauterbach folgende Aussage:
"Und dann wird erneut das ganze Land in der Geiselhaft dieser Gruppe von Menschen sein, die sich einfach gegen die wissenschaftliche Evidenz der weltweiten Forscher, der weltweiten Behandlungsforscher, Impfforscher durchsetzen wollen, die im Prinzip doch stolz darauf sind, dass das Land auf sie wartet, ob sie sich impfen lassen oder nicht.
Mir ist zwar bekannt, dass die „Köterrasse“ von oben bis unten durchbeleidigt werden kann und der Straftatbestand eigentlich nicht gegen Deutsche angewandt wird, aber inmitten dieser „Ungeimpften“ befinden sich auch sehr viele Migrant*innen und Muslim*innen, was Sie ja durchaus zu einer Anklage ermutigen sollte.
Nie wieder darf nämlich Hass und Hetze von deutschem Boden gegen eine Minderheit ausgehen. Punkt!
Der BES Lauterbach ist in Deutschland bereits hinlänglich als Rechtsbrecher (Telefonieren am Steuer, Verletzung der Maskenpflicht und Hygienemaßnahmen im Bundestag) bekannt.
Zeigte allerdings nie Reue.
Des Weiteren ist er bewiesenermaßen als mehrfacher Lügner überführt.
Hierbei sei nachgefragt, ob der subjektive Tatbestand überhaupt gegeben ist oder ob der BES Lauterbach unter dem Einfluss narkotisierender oder aufputschender Substanzen stand.
Anders ist dieser Hass und diese Hetze nämlich kaum noch zu erklären.
Weiterhin sei angemerkt, dass zu klären ist, ob der BES Lauterbach Alkoholiker oder Junkie ist, der regelmäßig verbotene Substanzen zu sich nimmt.
Sein öffentliches Auftreten (lallende Aussprache, unkoordinierte Bewegungen, Gesichtskirmes, …) deutet zumindest stark darauf hin.
§ 130 Abs. 1 StGB besagt, dass
„Wer in einer Weise, die geeignet ist, den öffentlichen Frieden zu stören,
gegen eine nationale, rassische, religiöse oder durch ihre ethnische Herkunft bestimmte Gruppe, gegen Teile der Bevölkerung oder gegen einen Einzelnen wegen seiner Zugehörigkeit zu einer vorbezeichneten Gruppe oder zu einem Teil der Bevölkerung zum Hass aufstachelt, zu Gewalt- oder Willkürmaßnahmen auffordert oder
die Menschenwürde anderer dadurch angreift, dass er eine vorbezeichnete Gruppe, Teile der Bevölkerung oder einen Einzelnen wegen seiner Zugehörigkeit zu einer vorbezeichneten Gruppe oder zu einem Teil der Bevölkerung beschimpft, böswillig verächtlich macht oder verleumdet,
WIRD MIT FREIHEITSSTRAFE VON DREI MONATEN BIS ZU FÜNF JAHREN BESTRAFT.“
§ 192a StGB besagt, dass
„Wer einen Inhalt (§ 11 Absatz 3), der geeignet ist, die Menschenwürde anderer dadurch anzugreifen, dass er eine durch ihre nationale, rassische, religiöse oder ethnische Herkunft, ihre Weltanschauung, ihre Behinderung oder ihre sexuelle Orientierung bestimmte Gruppe oder einen Einzelnen wegen seiner Zugehörigkeit zu einer dieser Gruppen beschimpft, böswillig verächtlich macht oder verleumdet, an eine andere Person, die zu einer der vorbezeichneten Gruppen gehört, gelangen lässt, ohne von dieser Person hierzu aufgefordert zu sein, wird mit Freiheitsstrafe bis zu zwei Jahren oder mit Geldstrafe bestraft.“
Dies trifft alles par excellence auf die Äußerungen der BES Lauterbach zu!
Aufgrund des fanatischen Auftretens und der großen Reichweite seiner Hasstiraden, die zur Spaltung und regelrechten Verfolgung Unschuldiger*innen aufrufen, ist von einer hohen Strafzumessung auszugehen.
Niemals zu vergessen sei auch, dass durch die bewiesenen Lügen und die Panikmache des BES Lauterbach unzählige Menschen in eine schwere psychische Krankheit und sogar den Freitod getrieben wurden.
Ganz zu schweigen von dem Leid älterer Menschen oder einer ganzen Generation kleiner Kinder und Jugendlicher.
Tun Sie daher Ihre Pflicht!
Stoppen Sie diesen Mann!
Ich stelle zudem Strafantrag für alle infrage kommenden Straftaten.
Mit freundlichen Grüßen
(……………………………………………….)
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https://www.legitim.ch/post/fassungslosi...paris-nizza-ein
24.03.2022
Fassungslosigkeit im Radsport: 95 von 154 Rennfahrern brechen beim Klassiker Paris-Nizza ein!
Im November 2021 wurde im Journal of the American Heart Association, eine renommierte Fachzeitschrift für Kardiologie, eindringlich vor den experimentellen mRNA-Impfstoffen gewarnt:
Abstract 10712: mRNA COVID-Impfstoffe erhöhen drastisch die endothelialen Entzündungsmarker und das ACS-Risiko (Akutes Koronarsyndrom), gemessen mit dem PULS-Herztest: eine Warnung
Wir schliessen daraus, dass die mRNA-Impfstoffe die Entzündung des Endothels und die T-Zell-Infiltration des Herzmuskels dramatisch erhöhen und die Ursache für die zunehmenden Thrombosen, Kardiomyopathien und andere vaskuläre Ereignisse sein könnten.
Anmerkung: Dies ist die naheliegendste Erklärung für die dramatische Zunahme von Zusammenbrüchen im Spitzen- und im Breitensport, da Herzmuskelentzündungen und Thrombosen für Sportler bekanntlich besonders gefährlich sind.
Das Kultrennen Paris-Nizza markiert jeweils die Eröffnung der Radsaison im Frühjahr und es kam ausgerechnet in diesem Jahr, nach den Massenimpfungen, zu massiven Ausfällen. Gemäss RMC Sport schafften es von den 154 Teilnehmern gerade mal 59 ins Ziel. Dieser krasse Negativ-Rekord wird in dem Artikel mit der zu anspruchsvollen Kurssetzung und den widrigen Wetterbedingungen begründet. Zudem hätten 30 % der Radprofis aufgrund von Grippesymptomen aufgeben müssen. Weiter wird vermerkt, dass es sich dabei nicht um Corona gehandelt habe:
Aus medizinischen Quellen hat diese Art von Virus, der zu dieser Jahreszeit ziemlich häufig ist (und der nach allen durchgeführten und RMC Sport zur Kenntnis gebrachten Tests nicht Covid ist), eine erleichterte Verbreitung durch die Zerbrechlichkeit der Organismen am Ende des Winters, insbesondere mit den vielen für Körper und Geist anstrengenden, aber auch guten Höhentrainings zu Jahresbeginn.
Anmerkung: Impfschäden wurden als Ursache für das historische Debakel leider nicht in Erwägung gezogen.
Weiter beklagte Julien Jurdie, der Sportdirektor des AG2R-Citroën-Teams, dass der allgemeine Gesundheitszustand im Hauptfeld nicht gut sei.
Leider mehren sich die Herzinfarkte seit den Massenimpfungen auch im Breitensport. Am 20. März berichtete beispielsweise Le Dauphiné darüber, wie ein Radsportler nach einem Herzinfarkt mit dem Helikopter abgeholt werden musste und drei Tage später berichtete die Abendzeitung über einen anderen Radfahrer, der in Unterföhring bewusstlos auf der Strasse aufgefunden wurde und später im Krankenhaus verstarb.
(Die Liste der vertuschten Impfschäden ist ellenlang. Auf diesem bemerkemswerten Telegram-Kanal findest du unzählige Beispiele.)
Sehr aufschlussreich ist in diesem Zusammenhang auch, dass Moderna im Dezember 2021 gemäss Reuters eingestehen musste, dass der Versuch, die mRNA-Technologie gegen die normale Grippe einzusetzen, völlig versagt hat. Dr. Malone, der Erfinder der mRNA-Technologie, erklärte, dass rund 90 % der Versuchspersonen Nebenwirkungen entwickelt haben. (vgl. The Epoch Times)
Anmerkung: Während die mRNA-Grippeimpfungen aufgrund der vernichtenden Testergebnissen nicht auf den Markt kam, wurden die mRNA-Impfung gegen Corona aufgrund der angeblichen Notlage ohne Rücksicht auf Verluste durchgewunken.
Fazit: Wenn es so weiter geht, wird die Einführung des mRNA-Impfstoffs, der laut Definition eigentlich gar kein Impfstoff ist, als das schlimmste Verbrechen gegen die Menschlichkeit in die Geschichte eingehen. Glücklicherweise hat die Impfbereitschaft gemäss den aktuellen Daten deutlich abgenommen. Jetzt bleibt nur noch zu hoffen, dass die Drahtzieher bald zur Rechenschaft gezogen werden, damit der Menschheit weiters Unheil erspart wird.
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Servus Reportage
Tote, die es niemals geben dürfte – Die Covid-Impfopfer
24. Mrz | 47:00 Min
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Fassungslosigkeit im Radsport: 95 von 154 Rennfahrer brechen beim Klassiker Paris-Nizza ein!
Paris-Nice
Im November 2021 wurde im Journal of the American Heart Association, eine renommierte Fachzeitschrift für Kardiologie, eindringlich vor den experimentellen mRNA-Impfstoffen gewarnt:
„Abstract 10712: mRNA COVID-Impfstoffe erhöhen drastisch die endothelialen Entzündungsmarker und das ACS-Risiko (Akutes Koronarsyndrom), gemessen mit dem PULS-Herztest: eine Warnung“
„Wir schliessen daraus, dass die mRNA-Impfstoffe die Entzündung des Endothels und die T-Zell-Infiltration des Herzmuskels dramatisch erhöhen und die Ursache für die zunehmenden Thrombosen, Kardiomyopathien und andere vaskuläre Ereignisse sein könnten.“
Anmerkung: Dies ist die naheliegendste und plausibelste Erklärung für die dramatische Zunahme von Zusammenbrüchen im Spitzen- und im Breitensport, da Herzmuskelentzündungen und Thrombosen für Sportler bekanntlich besonders gefährlich sind.
Das Kultrennen Paris-Nizza markiert jeweils die Eröffnung der Radsaison im Frühjahr und es kam ausgerechnet in diesem Jahr, nach den Massenimpfungen, zu massiven Ausfällen. Gemäss RMC Sport schafften es von den 154 Teilnehmern gerade mal 59 ins Ziel. Dieser krasse Negativ-Rekord wird in dem Artikel mit der zu anspruchsvollen Kurssetzung und den widrigen Wetterbedingungen begründet. Zudem hätten 30 % der Radprofis aufgrund von Grippesymptomen aufgeben müssen. Weiter wird vermerkt, dass es sich dabei nicht um Corona gehandelt habe:
„Aus medizinischen Quellen hat diese Art von Virus, der zu dieser Jahreszeit ziemlich häufig ist (und der nach allen durchgeführten und RMC Sport zur Kenntnis gebrachten Tests nicht Covid ist), eine erleichterte Verbreitung durch die Zerbrechlichkeit der Organismen am Ende des Winters, insbesondere mit den vielen für Körper und Geist anstrengenden, aber auch guten Höhentrainings zu Jahresbeginn.“
Anmerkung: Impfschäden wurden als Ursache für das historische Debakel leider nicht in Erwägung gezogen.
Weiter beklagte Julien Jurdie, der Sportdirektor des AG2R-Citroën-Teams, dass der allgemeine Gesundheitszustand im Hauptfeld nicht gut sei.
Leider mehren sich die Herzinfarkte seit den Massenimpfungen auch im Breitensport. Am 20. März berichtete beispielsweise Le Dauphiné darüber, wie ein Radsportler nach einem Herzinfarkt mit dem Helikopter abgeholt werden musste und drei Tage später berichtete die Abendzeitung über einen anderen Radfahrer, der in Unterföhring bewusstlos auf der Strasse aufgefunden wurde und später im Krankenhaus verstarb.
(Die Liste der vertuschten Impfschäden ist ellenlang. Auf diesem bemerkemswerten Telegram-Kanal findest du unzählige Beispiele.)
Sehr aufschlussreich ist in diesem Zusammenhang auch, dass Moderna im Dezember 2021 gemäss Reuters eingestehen musste, dass der Versuch, die mRNA-Technologie gegen die normale Grippe einzusetzen, völlig versagt hat. Dr. Malone, der Erfinder der mRNA-Technologie, erklärte, dass rund 90 % der Versuchspersonen Nebenwirkungen entwickelt haben. (vgl. The Epoch Times)
Anmerkung: Während die mRNA-Grippeimpfungen aufgrund der vernichtenden Testergebnissen nicht auf den Markt kam, wurden die mRNA-Impfung gegen Corona aufgrund der angeblichen Notlage ohne Rücksicht auf Verluste durchgewunken.
Fazit: Wenn es so weiter geht, wird die Einführung des mRNA-Impfstoffs, der laut Definition eigentlich gar kein Impfstoff ist, als das schlimmste Verbrechen gegen die Menschlichkeit in die Geschichte eingehen. Glücklicherweise hat die Impfbereitschaft gemäss den aktuellen Daten deutlich abgenommen. Jetzt bleibt nur noch zu hoffen, dass die Drahtzieher bald zur Rechenschaft gezogen werden, damit der Menschheit weiters Unheil erspart wird.
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https://www.ahajournals.org/doi/10.1161/...4.suppl_1.10712
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https://uncutnews.ch/pfizer-hat-mir-1-mi...habe-abgelehnt/
Pfizer hat mir 1 Million Schweigegeld angeboten und ich habe abgelehnt
uncut-news.ch
März 24, 2022
Die Impfstoffhersteller versuchen, Wissenschaftler und Ärzte, die sich kritisch zu den Corona-Impfstoffen äußern, einzuschüchtern und „auszuschalten“. Wenn das nicht klappt, versuchen sie, diese Leute zu bestechen.
Der Epidemiologe Paul Alexander, der den mRNA-Impfstoffen sehr kritisch gegenübersteht, schreibt in einem Beitrag auf Substack, dass Pfizer ihm eine Million Dollar und ein Gehalt von 50.000 Dollar im Monat angeboten hat, damit er seinen Mund über Pfizer und seinen Direktor Albert Bourla hält.
Pfizer wusste, dass 1223 Menschen nach der Impfung gestorben waren, dass es 1290 verschiedene Nebenwirkungen gab, dass die Impfung zu Varianten führen würde, und sie wollten diese Informationen 55 oder 75 Jahre lang unter Verschluss halten, sagte Alexander, der im US-Gesundheitsministerium unter Präsident Trump arbeitete und auch die WHO beriet.
Er schreibt, dass er bereits mehr als genug verloren hat und dass es für ihn kein Zurück mehr gibt. Wenn bewiesen wird, dass die Handlungen von Bourla, Moderna-Chef Bancel und Leuten wie Anthony Fauci Menschenleben gekostet haben und dass Menschen und Kinder infolgedessen gestorben sind, sollten sie ins Gefängnis gehen, betont Dr. Alexander.
Er weist darauf hin, dass die meisten Wissenschaftler, Universitäten, Ärzte, Gesundheitsbeamten, Technokraten, Regierungen und Arbeitsgruppen sich bestechen ließen. Ihre Gehälter waren wichtiger und sie hielten den Mund. Alexander ist einer der wenigen, die kein Schweigegeld angenommen haben und sich weiterhin zu Wort melden.
Er unterstützt die kanadischen und amerikanischen Trucker in ihrem Kampf gegen die Impfpflicht und wird auch weiterhin kämpfen, sagt er. Er nennt die Impfstoffe von Pfizer und Moderna u. a. „kriminell“.
Zuvor hatte Alexander gesagt, dass es noch nie eine COVID-Pandemie gegeben habe. „Die Medien haben gelogen und sind mitschuldig“, sagte er.
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